Note de l'auteure: J'ai été un peu nutso avec les GIFS... c'est la faute à Patate...
Ahhh Patate. Quand je t'ai rencontrée, on m'a dit que tu t'appelais Maya. Mais des fois, les nicknames sont instantanés et il ne faut pas les questionner. C'est pour ça qu'on a des amis qui s'appellent Grizzly, Pinky, ou Spacerabbit. En posant mon regard sur toi cette première fois-là, il n'y a qu'un mot qui m'est venu à l'esprit: Patate.
Presques identiques, right?
Et comme tous les vrais amours, tu m'as ruinée. J'étais la tough, la rock-and-roller, celle qui était trop cool pour aimer des photos de bébés et de chiens. Ça prenait plus que des créatures adorables pour m'émouvoir. Mais cette fille-là, c'était celle que j'étais avant de te connaître. Avec ta langue pendante et ton expression permanente de confusion, tu m'a changée, en un rien de temps, de ceci: À ceci:
Ruinée, à vie.
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Alright, si j'va partager mes notes, va falloir adresser quelque chose tout de suite: Ma vie est une suite interminable de crush ratés. Tu sais, quand tu t'inventes plein d'histoires dans ta tête, mais ça work out jamais? Well, ça work out des fois, mais généralement pas. Et j'ai apparemment décidé de documenter tout ça de façon assez complète, merci. En fait j'ai un souvenir très clair d'avoir 4 ans et d'écrire le nom d'un garçon qui s’appelait Éric dans un proto-journal avec un crayon. So yeah, y'a beaucoup de stuff about des garçons. Cette entrée de journal de l'automne de mes 19 ans est une bonne introduction au sujet:
J'ai l'impression que je m’apprête à faire quelque chose de stupide. J'ai des sentiments pour quelqu'un que je sais qu'il serait difficile de voir...Mais en même temps, j'ai aussi confiance dans la réciprocité. J'essaye de me convaincre d'oser, puisque suffisamment de temps a passé pour que je puisse espérer d'avantage. La stabilité est dans nos deux vies, alors j'ai au moins ça de mon côté. (Stabileté: travailler dans un magasin au mall et louer une chambre dans maison.) Ce ne sera jamais simple, mais je ne compte pas sur cela. J'ai trop besoin de l'avoir à moi. Alors, j'oserai. De toute façon, c'est ce que je fais depuis toujours, Le cycle d'aimer, le dire, et en subit les conséquences décrit ma vie depuis un jeune âge. Et je reste surprennament optimiste malgré le bas ratio de succès de ma "méthode". (La "méthode": déclarations pas mal directes d'un crush envers la personne en question, de la façon la moins smooth possible. Le ratio de succès en question: environ 1 pour 78 tentatives ratés et awkward.) Je ne peux pas m'arrêter mi-cycle, et essayer de l'oublie, puisque de toute façon, je pense à lui en m'endormant le soir. Je ne peux que me garder les doigts croisés. Ma solitude s’amplifie. C'est difficile de n'avoir personne à qui on peut dire nos pensées les plus tristes, ni quelqu'un sur qui on peut compter dessus pour rassurer par sa simple présence. Cependant, les pensées sur cet homme que j'aime me laissent croire que je ne serai pas seule longtemps. Ça a pas worké out, évidemment. Croyez-vous que ça allait bien finir aussi vite? Ha! |
À proposJe suis Céleste Godin Ici sont mes idées, des pensées pas rapport et du random junk. C'est kind of intéressant, hopefully. Note sur la langue utilisée:
Ce blog n'a pas honte d'utiliser des mots anglais ni d'inventer des mots. Afin d'alléger le texte, le genre féminin est utilisé. Le masculin est inclus lorsque le contexte l'indique. Le stuff que t'as manqué
January 2021
Les modes de stuff
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